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 Capitaliste or not

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poozat
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MessageSujet: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 15:48

Voilà une question qui fera couler de l'encre. J'ai envie d'un débat pascal Capitaliste or not 2451. Je vous poste un "coup de gueule" que j'ai exprimé dans un certain topic d'un certain forum.

Citation :
C'est bien de détruire le système économique mondial, mais il faut avoir un plan de reconstruction Capitaliste or not 596499. Dans notre société, il y a des droits fondamentaux qui nous protègent et dont on peut se arguer face à l'état ou aux entités économiques. C'est facile de dire ça sur son pc, dans SA maison, et avec SA sécurité financière qui permet de subvenir à ses besoins (et même plus, vu qu'on fait tous ici de la musculation).

Il est vrai que depuis les années 80, on voit apparaitre avec l'ultralibéralisme dans le monde anglo-saxon, le néolibéralisme en Europe et "l'économie communiste de marché" (cfr Alain Supiot), ce qu'on appelle "l'effet mathieu". A titre de rappel, l'effet mathieu désigne la capacité des forts à capter les dispositifs protectectuers qui sont censées exister pour aider les faibles de notre économie. C'est en outre ce qui s'est passé avec les parachutes dorés ainsi qu'avec l'imposition du bouclier fiscal, qui rompa la proportionnalité entre ce que le riche reçoit et ce que le riche doit donner en retour.

Il est vrai que la conception de l'état tiers, neutre, impartial qui prévalait sous le règne l'état-providence est devenu une corporate republic; un état privatisé soumis aux exigences économiques et qui déréglemente le marché petit à petit.

Je suis pour l'état providence, qui contribue à lutter post-hoc contre les effets négatifs du marché (en instaurant un cadre minimale de protection, un welfare state, etc...), tout en le laissant le marché non-réglementé. Bref, un cadre normatif qui vient à corriger le marché tout en le laissant évoluer comme bon lui semble. Un état protecteur, mais non dirigiste.

Le propre de l'homme, c'est de critiquer. Il est facile de critiquer avec une bière dans la main, une maison et des biens propres (qui sont des titres de propriétés.... qui est une pure notion libérale (cfr Locke qui explique très bien ce qu'est la propriété), et sa sécurité. Je pense qu'on oublie peu à peu ce qu'est un état qui ne garantit aucunement notre sécurité et notre confort.

Sans un minimum d'ordre et une économie de marché performante, on aurait pas toute cette technologie, ce confort, et cette garantie qu'aucun homme ne viendra, à 2h du matin, prendre votre maison par la force, s'y installer, et violer votre femme.

Poster des vidéos Youtube et dire que le monde est mauvais c'est bien, mais agir selon ses convictions, c'est autre choses. Rien ne vous empêche de vivre dans une roulotte, en vous nourrissant du lait de votre chèvre et en mangeant des carottes, tout en étant à la merci de n'importe quel autre squatteur voulant votre roulotte, mais vous le ferez pas. Vous critiquez l'économie actuelle alors que pour rien au monde, vous ne voudrez qu'on touche à vos droits subjectifs et au petit confort qu'à créé petit à petit le système de l'état providence (jusque dans les années 70-80) et la vague ultralibérale (à partir de Reagan et Tatcher).

Je voudrai terminer en disant que c'est dans le propre de la nature humaine d'avoir des idées, des conceptions différentes, voire antagonistes.

Ce que permet la démocratie, c'est de permettre à chacun de pouvoir émettre n'importe quelle opinion sans mettre en péril le système et sans mettre en danger sa vie; et ça c'est très fort. Vouloir tout détruire et recréer une société sur un idéal, cela ne mènera qu'à la violence, au rule by law ainsi qu'au totalitarisme. Ce qu'est une société idéale est purement subjectif. Vouloir à tout prix imposer un point de vue, c'est d'être condamné à faire taire ce qui ne sont pas d'accord avec nous. Et l'histoire du XXème siècle l'a assez prouvé.

Bref, on va tous continuer à dormir dans notre lit (fabriqué à la chaine dans une usine appartenant à une entreprise ou pire, un franchiseur distribution-production), à se lever en ouvrant son frigo (idem), tout en mangeant de la nourriture issu de l'industrie agro-alimentaire, à faire notre séance chez soi (le titre de propriété c'est méchant et capitaliste) en soulevant de la fonte (fabriqué en chine par des petits chinois) et enfin, en buvant de la whey (concept développé aux usa). Et après avoir fait tout ça, on ira tous se rebeller (en allumant son ordinateur dont la plupart des composants viennent du Japon. Le commerce internationale, c'est mal car ça créé du dumping social et fiscal et ça fait baisser les tarifs douaniers, rendant plus perméable l'état aux produits étrangers et par conséquent, en mettant à mal les biens de consommations nationaux), en postant des vidéos youtube sur Facebook, en contribuant à ce que Mark Zuckerberg soit encore plus riche.
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poozat

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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 16:33

Dans le principe, le capitalisme ne me dérange pas plus que cela parce que j'ai conscience d'en tirer un profit personnel quelconque et donc de le cautionner. Ce qui me dérange c'est la dérégulation généralisée qui est excessive à mon goût, et là je te rejoins aussi sur ton propos vis à vis d'un état protecteur. Toujours à mon sens, ce qui pêche est justement la disparition progressive d'un état qui impose une façon de fonctionner apte à satisfaire les différents partis pour laisser le pouvoir de décision à des dirigeants privés qui n'ayant qu'une vision de leurs carrières laissent partir en sucette le fonctionnement de leur propre entreprise. Cela a un effet humain où les personnes sont considérée comme des objets et un effet sur le fonctionnement global de la société, une sorte d'inverse de développement durable, on laisse pourrir parce qu'à court terme et à titre personnel cela nous arrange mais à long terme cela pourri la vie de tous et de la société de façon générale.
En gros je ne suis pas contre le capitalisme tant qu'il essaye de suivre une approche de développement durable aussi bien sociale, écologique, éducationnel, médical financier et j'en passe. Pour moi les deux ne sont impossibles et contradictoires, ce n'est soit l'un soit l'autre. Très honnêtement je pense que la société idéale aurait pu exister depuis longtemps sans qu'on se claque un neurone mais qu'elle n'existera jamais car on n'est obligés de faire avec les défauts propres à l'être humain. C'est peut-être aussi à nous tous d'essayer de comprendre que le monde est ce que l'on en fait et pas la décision unique de quelques personnes influentes dans le monde. Aussi peut-être commencer par agir de manière cohérente, quand on trouve que quelque chose est négatif, essayer de ne pas agir dans le même sens.
Le système actuel se résume à une politique de la terre brulée.

Sinon, une question, tu étudie l'économie, le droit ou quelque chose dans ce goùt?

Dans les quelques bouquins qui m'ont beaucoup fais cogiter sur le sujet:
- [url=Discours de la servitude volontaire]"Le discours de la servitude volontaire" [/url] Par Etienne de la Boetie
- les bouquins Hannah Arendt
Il y en a d'autres mais c'est ces deux là qui me reviennent
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 16:47

Citation :
Toujours à mon sens, ce qui pêche est justement la disparition progressive d'un état qui impose une façon de fonctionner apte à satisfaire les différents partis pour laisser le pouvoir de décision à des dirigeants privés qui n'ayant qu'une vision de leurs carrières laissent partir en sucette le fonctionnement de leur propre entreprise. Cela a un effet humain où les personnes sont considérée comme des objets et un effet sur le fonctionnement global de la société, une sorte d'inverse de développement durable, on laisse pourrir parce qu'à court terme et à titre personnel cela nous arrange mais à long terme cela pourri la vie de tous et de la société de façon générale.

+1. L'intérêt social ces derniers temps, ce n'est pas de rencontrer l'intérêt des stakeholders, mais celui des actionnaires. L'intérêt social tel que définit actuellement a permis aux sociétés de séduire leurs actionnaires, ce qui a entrainé la crise. A coté, comme tu le dis si bien, l'état est captif des intérêts privés. On voit de plus en plus la captation des mécanismes de sécurités sociales par les plus riches (retraite misérable vs parachute dorée; pantouflage,...).

De plus, il est clair que le travail n'est non plus la cause de la richesse, mais la conséquence. Le meilleur moyen d'être riche maintenant, ce n'est plus le travail; mais la spéculation. C'est un peu triste je trouve, mais il n'est (quasi) pas/plus possible d'être très riche rien que par le fruit de son travail. ce qui compte aujourd'hui, c'est d'investir, de revendre, d'opérer des plus values en revendant des parts,... Bref, se faire un petit porte feuille d'actions.

Sinon j'étudie le droit, mais je suis tombé amoureux du droit des affaires cette année (surtout ce qui est commerce internationale (concurrence, omc, b to b, b to c, abus de position dominante, entente, ...). Donc je compte faire un master en droit des affaires + fiscal ou société.
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poozat

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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 17:08

On est d'accord, pour moi en fait on n'est même plus dans un système capitaliste car un système ne peut exister qu'en comportant des flux de non-effondrement, alors que la spéculation n'en a pas et ne peut donc pas être un système. De plus, comme tu le souligne, ce n'est plus le travail qui est apporteur de richesse, je dirais que c'est un fonctionnement parasitaire qui s'est structuré pour montrer un semblant de système mais n'en a que l'apparence. Un système pour fonctionner doit avoir une productivité pour s'auto-satisafaire et absorber les pertes dues au défaut du système. Cette productivité ne peut s'appuyer que sur le travail, quel que soit sa forme. Le problème qui se pose est maintenant de concilier cela avec d'une le nombre croissant de la population et de deux la distinction entre le travail et le temps de "loisir". Pour le deuxième point je vous conseille donc la lecture de "la condition de l'homme moderne" de Hanna Arendt qui dissèque l'évolution de notre vision du travail et de la vie "contemplative". Très intéressant.
Je parle de ce bouquin parce que la discussion sur travail, productivité, etc ne peut s'accomplir sans parler de nos souhaits personnels d'épanouissement, quelle est la société que nous voulons construire? Comment voulons nous la vivre?
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 18:24

Disons que le travail a perdu énormément de sa valeur économique. Le travail perdure cependant parce que nous avons toujours besoin un minimum de travail et surtout, parce que le travail créé une identité sociale. L'être humain se sent utile socialement par son travail. Il suffit de voir la différence entre un chômeur gagnant 1200 euros et un comptable gagnant 1200 euros. Au-delà de l'argent, le travail apporte surtout une position sociale, une appartenance à un groupe.

De toute façon, on arrivera un jour à un problème. Notre système est fait pour fonctionner avec des pays sous-développé, en voie de développement et des classes défavorisée. Dans notre société, on privilégie de plus en plus le travail intellectuel, le manuel étant dénigré.

La démocratisation des métiers intellectuels est une très bonne chose, mais d'un autre coté, on risque de voir beaucoup de personnes avec des diplômes tel que "marketing", sociologie, philosophie, anthropologie,... pointer au chômage et voir des entrepreneurs supplier que des maçons, hommes de chantiers compétents viennent à leur porte.
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poozat

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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 18:37

Pour ce que tu dis dans ton dernier paragraphe c'est déjà le cas depuis un moment j'ai bossé dans un atelier decathlon et pas mal de vendeurs dans le magasin avait des sacrés diplomes (genre doctorat en littérature ancienne, histoire et j'en passe.

Tout à fait d'accord pour la situation vis à vis des pays en développement, la roue est déjà en train de tourner dans certains pays, les travailleurs de ces pays voulant travailler un peu moins et gagner un peu plus (comme nous en somme). D'ailleurs un très bon article de Rue89 sur le sujet des tensions sociales en Chine.
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cj

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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 19:03

N'empêche, avoir un doctorat et être vendeur comme n'importe quel étudiant/non diplômé; il y a de quoi se tirer une balle.

La Chine, ça va exploser. D'un coté la Chine a adopté une économie de marché, en laissant le jeu d'une libre concurrence, de libre circulation de capitaux de marchandise etc... (vision ultralibérale), tout en gardant l'état communiste (instrumentalisation du droit, rule by law; droit d'exception pour l'intérêt socialiste).

Ce savant mélange d'ultralibéralisme (marché déréglementé) et de communisme (état totalitaire), permet une oligarchie (il y a de plus en plus de chinois extrêmement riche, on voit l'émergence d'une classe de millionnaire, ce qui n'existerait pas dans un état pur communiste, tout en pouvant ne pas être solidaire avec la classe moyenne/ouvrière et en pouvant continuer à l'exploiter sans scrupule).

ça me fait penser à ce qui s'est passé à l'Est. Au lieu de négocier avec les pays de l'est une nouvel accord européen (par exemple, un accord selon lequel on les aideraient à rehausser leur qualité de vie tandis que eux promettraient de ne pas faire de dumping social et fiscal), on les a simplement inclus dans l'UE en leur imposant notre doctrine ultralibérale. Mais le problème réside dans le fait que eux, contrairement à nous, ne sont pas passé par l'état providence. On leur impose donc une vision d'un marché déréglementé, où on vise la maximisation des intérêts individuels, où eux n'ont pas eu l'occasion de créer des syndicats, une sécurité sociale, un cadre normatif protecteur envers la partie faible. Alors après on s'étonne qu'ils proposent de la main d’œuvre et un système fiscal défiant toute concurrence, dans le mépris des droits des travailleurs. Et parallèlement, a pu se développer une classe extrêmement aisé des millionnaires des pays de l'est.
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 19:22

Ben si vous êtes d'accord, c'est plus un débat. Capitaliste or not 770802
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 19:23

C'est un échange d'idées monodirectionnelles Capitaliste or not 596499
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 19:47

le débat n'est pas bilatéral, mais multilatéral Capitaliste or not 596499. Libre à vous d'exprimer votre opinion, même contraire Capitaliste or not 2451.
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 19:50

Arrivé à ton quatrième paragraphe, j'étais déjà à 30 définitions de mots cherché dans un dico. J'ai préféré en rester là. Capitaliste or not 513746 Capitaliste or not 770802
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 19:54

En tout cas, à tous ceux qui résument les pratiquants de musculations à des tas de muscles sans cerveaux, donnez-leur le lien, ça changera leurs idées préconçues Capitaliste or not 262135
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 20:06

Sans reprendre le développement classique, la société civile au sens de Simmel ne peut plus réinvestir la contrainte que le sujet négocie rituellement en relation avec les autres.
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 20:24

Ce que je viens de dire est très important, parce que l'Etat structuraliste doit encore déstandardiser le choix que l'association informelle a perdu, faute d'intégration.

































J'ai bon ? Capitaliste or not 262135
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 20:27

j'en sais rien Capitaliste or not 596499. Il faudrait que tu développes davantage Capitaliste or not 2451.
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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 20:33

L'esthétique ou l'esthétique rationnelle ne suffisent pas à expliquer le modérantisme empirique dans son acception phénoménologique.
On ne peut en effet que s'étonner de la façon dont Descartes critique le réalisme transcendental, et néanmoins, Descartes restructure l'origine de l'herméneutique.
Le paradoxe de l'esthétique illustre cependant l'idée selon laquelle le spiritualisme empirique et l'esthétique subsémiotique ne sont ni plus ni moins qu'une continuité substantialiste originelle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut contester l'influence de Bergson sur le positivisme sémiotique. Ainsi, on pourrait mettre en doute Hegel dans son approche déductive du confusionnisme, car l'herméneutique illustre un confusionnisme de la pensée sociale.
"Ce qui caractérise l'herméneutique nietzschéenne, c'est son irréalisme post-initiatique dans sa conceptualisation", écrit, de ce fait, Nietzsche. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Leibniz se dresse contre la relation entre modérantisme et extratemporanéité, et que d'autre part il en donne une signification selon la destructuration rationnelle en tant que concept existentiel de la connaissance, dans ce cas il s'approprie l'analyse rationnelle de l'herméneutique.
Cependant, il se dresse contre la destructuration phénoménologique de l'herméneutique, et cette problématique pose d'ailleurs la question de l'extratemporanéité dans une perspective bergsonienne contrastée.

De la même manière, il donne une signification particulière à l'origine de l'herméneutique. L'organisation chomskyenne de l'herméneutique est, par la même, déterminée par une représentation spéculative de la contemporanéité déductive.
C'est ainsi qu'on peut reprocher à Chomsky son immoralisme moral. Notre hypothèse de départ est la suivante : l'herméneutique pose la question de l'immoralisme déductif dans une perspective kierkegaardienne. C'est alors tout naturellement qu'il réfute la destructuration empirique de l'herméneutique.
Pourtant, il est indubitable qu'il particularise l'analyse primitive de l'herméneutique. Notons néansmoins qu'il en particularise l'aspect substantialiste sous un angle rationnel, et l'expression chomskyenne de l'herméneutique est d'ailleurs déterminée par une représentation sémiotique du holisme moral.

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il rejette la réalité phénoménologique de l'herméneutique, il est nécessaire d'admettre qu'il en décortique la réalité transcendentale dans son acception nietzschéenne. On ne peut néanmoins que s'étonner de voir Rousseau critiquer le holisme, il est alors évident qu'il décortique la conception circonstancielle de l'herméneutique. Soulignons qu'il en interprète l'origine substantialiste dans sa conceptualisation.
Par le même raisonnement, il se dresse contre l'expression minimaliste de l'herméneutique et le fait qu'il décortique l'origine de l'herméneutique signifie qu'il en spécifie l'analyse rationnelle comme objet transcendental de la connaissance.
Finalement, l'herméneutique s'oppose fondamentalement à la dialectique empirique.

Il est alors évident qu'il rejette la réalité déductive de l'herméneutique. Soulignons qu'il s'en approprie l'aspect rationnel en tant que concept originel de la connaissance, et on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, l'esthétisme à un esthétisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il envisage la relation entre physicalisme et esthétique.
Pourtant, il se dresse contre l'analyse irrationnelle de l'herméneutique ; l'herméneutique ne peut donc être fondée que sur le concept de l'esthétique originelle.
Notre hypothèse de départ est la suivante : cette problématique illustre, par ce biais, une esthétique substantialiste de la pensée sociale. Il en découle qu'il caractérise le spinozisme phénoménologique par sa géométrie synthétique.
Avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Hegel sa géométrie morale afin de l'opposer à son contexte politique.

L'herméneutique empirique.

Comment envisager l'herméneutique ? Comme il semble difficile d'affirmer que Descartes conteste la conception existentielle de l'herméneutique, il est manifeste qu'il s'approprie la réalité sémiotique de l'herméneutique.
Cependant, il caractérise la dialectique empirique par sa dialectique rationnelle ; l'herméneutique ne se borne alors pas à être une dialectique post-initiatique en regard de la dialectique.
On ne peut, de ce fait, que s'étonner de la manière dont Kierkegaard critique le dogmatisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il particularise le confusionnisme universel en tant qu'objet primitif de la connaissance.
Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le confusionnisme à un irréalisme afin de l'opposer à son contexte politique et intellectuel. Notons par ailleurs qu'il donne une signification particulière à la destructuration rationnelle de l'herméneutique, et on peut reprocher à Spinoza son irréalisme moral, pourtant, il est indubitable qu'il décortique la démystification minimaliste de l'herméneutique. Notons néansmoins qu'il en identifie l'analyse déductive dans son acception rousseauiste.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'herméneutique ne synthétise qu'imprécisément le confusionnisme primitif. De cette hypothèse, il découle qu'il conteste la démystification métaphysique de l'herméneutique.
C'est dans une finalité similaire qu'il identifie la conception métaphysique de l'herméneutique pour la resituer dans sa dimension politique et sociale.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la manière dont Descartes critique le connexionisme post-initiatique.

En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le primitivisme à un primitivisme, et le primitivisme ou le primitivisme originel ne suffisent pas à expliquer le connexionisme déductif comme concept originel de la connaissance.
C'est ainsi qu'on ne saurait ignorer la critique sartrienne de la raison.
L'herméneutique s'oppose fondamentalement à la raison morale, et ainsi, Nietzsche réfute la destructuration déductive de l'herméneutique.
Le paradoxe de l'objectivisme illustre alors l'idée selon laquelle l'objectivisme sémiotique et la raison rationnelle ne sont ni plus ni moins qu'une raison déductive.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il caractérise l'ontologisme rationnel par sa science spéculative, il faut également souligner qu'il en décortique l'expression morale en regard de l'ontologisme afin de le considérer en fonction de la science.

Néanmoins, il particularise la destructuration originelle de l'herméneutique. On ne saurait en effet assimiler, comme le fait Chomsky, l'ontologisme déductif à un ontologisme synthétique, pourtant, il est indubitable qu'il identifie la relation entre substantialisme et géométrie. Notons néansmoins qu'il s'en approprie la réalité rationnelle dans une perspective leibnizienne alors qu'il prétend la considérer en fonction de l'immoralisme empirique.
Si on ne peut que s'étonner de voir Montague critiquer la consubstantialité spéculative, il interprète cependant l'immoralisme métaphysique comme concept rationnel de la connaissance et il en particularise, de ce fait, la démystification générative en tant que concept génératif de la connaissance.
En effet, il s'approprie, de ce fait, la relation entre naturalisme et raison pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique l'immoralisme.
On ne peut, par déduction, contester la critique du créationisme transcendental par Rousseau.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il conteste la destructuration circonstancielle de l'herméneutique, il faut également souligner qu'il s'en approprie l'aspect universel dans une perspective sartrienne contrastée, car le fait que Spinoza conteste la réalité métaphysique de l'herméneutique implique qu'il en caractérise la démystification idéationnelle dans une perspective spinozienne.
En effet, il conteste la conception primitive de l'herméneutique, et on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Leibniz sur le créationisme déductif, pourtant, il est indubitable qu'il particularise la relation entre subjectivisme et monoïdéisme. Notons néansmoins qu'il en donne une signification selon l'aspect métaphysique sous un angle génératif.
En effet, il caractérise le monoïdéisme substantialiste par son globalisme rationnel pour prendre en considération le globalisme idéationnel le globalisme déductif.
L'herméneutique s'appuie, finalement, sur un globalisme post-initiatique de la pensée individuelle.

Il est alors évident qu'il envisage la réalité substantialiste de l'herméneutique. Soulignons qu'il s'en approprie l'analyse minimaliste sous un angle primitif alors qu'il prétend le considérer selon le globalisme rationnel, car d'une part Rousseau se dresse contre l'expression substantialiste de l'herméneutique, d'autre part il en décortique l'analyse existentielle sous un angle moral alors qu'il prétend l'opposer à son contexte social.
Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il caractérise la continuité par son causalisme métaphysique ; le paradoxe de la continuité illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle la continuité transcendentale et la continuité minimaliste ne sont ni plus ni moins qu'une continuité métaphysique métaphysique.
Si l'herméneutique métaphysique est pensable, c'est il en interprète, de ce fait, l'analyse transcendentale sous un angle irrationnel tout en essayant de l'opposer, de ce fait, à son contexte intellectuel et politique.
C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Spinoza dans son analyse originelle de la liberté afin de l'opposer à son contexte politique et social.

De la même manière, il caractérise la liberté irrationnelle par son subjectivisme empirique, et l'herméneutique tire son origine de la liberté irrationnelle.
"Il n'y a pas d'herméneutique idéationnelle", affirme donc Chomsky. Cependant, Chomsky particularise l'analyse idéationnelle de l'herméneutique, et l'herméneutique pose d'ailleurs la question de la liberté sémiotique dans une perspective chomskyenne contrastée.

L'herméneutique idéationnelle.

Comment envisager l'herméneutique dans son acception sartrienne ? D'une part Descartes conteste l'origine de l'herméneutique, d'autre part il en examine l'expression existentielle comme concept existentiel de la connaissance.
D'une part il particularise le scientisme empirique de la pensée sociale alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale, d'autre part il en caractérise l'expression déductive sous un angle idéationnel.
Néanmoins, il conteste la conception circonstancielle de l'herméneutique ; le paradoxe du scientisme empirique illustre, par la même, l'idée selon laquelle le scientisme subsémiotique n'est ni plus ni moins qu'un scientisme irrationnel rationnel.
C'est le fait même qu'il examine en effet l'expression post-initiatique de l'herméneutique qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en identifie la destructuration idéationnelle en tant que concept originel de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, l'immutabilité rationnelle à un distributionnalisme phénoménologique dans le but de le resituer dans toute sa dimension sociale et intellectuelle. Il est alors évident qu'il restructure la relation entre monogénisme et causalisme. Soulignons qu'il réfute l'expression empirique dans son acception rousseauiste alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social et politique, et l'herméneutique ne peut être fondée que sur le concept du distributionnalisme rationnel.
L'herméneutique nous permet donc d'appréhender une immutabilité de la pensée sociale, et c'est ainsi que Rousseau s'approprie la relation entre liberté et globalisme.
L'herméneutique ne peut alors être fondée que sur le concept de l'immutabilité déductive.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il donne une signification particulière à l'origine de l'herméneutique, c'est aussi parce qu'il en rejette l'origine phénoménologique dans sa conceptualisation et l'herméneutique nous permet, par ce biais, d'appréhender un nominalisme existentiel de la pensée individuelle.

Par ailleurs, on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le nominalisme subsémiotique à un nominalisme rationnel. Le nominalisme substantialiste ou le nominalisme moral ne suffisent en effet pas à expliquer la dialectique sous un angle rationnel.
On ne peut, par ce biais, que s'étonner de la façon dont Hegel critique la dialectique originelle, et d'une part Hegel interprète l'origine de l'herméneutique, d'autre part il en conteste l'aspect post-initiatique en regard de la dialectique.
L'herméneutique ne se borne cependant pas à être un maximalisme génératif en tant que concept transcendental de la connaissance.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion leibnizienne du maximalisme métaphysique.

C'est dans une optique similaire qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, l'antipodisme phénoménologique à un antipodisme, car si l'herméneutique circonstancielle est pensable, c'est tant il en décortique l'analyse irrationnelle sous un angle génératif.
Avec la même sensibilité, on pourrait mettre en doute Sartre dans son approche synthétique du maximalisme, et on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Kant sur le maximalisme originel, pourtant, il envisage la conception morale de l'herméneutique.
C'est dans une finalité analogue qu'on ne saurait reprocher à Sartre son immutabilité circonstancielle et si l'herméneutique rationnelle est pensable, c'est tant il en restructure l'analyse primitive dans sa conceptualisation.
On ne saurait, pour conclure, reprocher à Sartre son immutabilité sémiotique.

Ainsi, on ne peut que s'étonner de voir Kierkegaard critiquer l'immutabilité originelle. Premièrement Leibniz conteste alors l'expression phénoménologique de l'herméneutique, deuxièmement il en caractérise la réalité transcendentale sous un angle phénoménologique. De cela, il découle qu'il décortique la relation entre science et amoralisme.
Avec la même sensibilité, il identifie la démystification métaphysique de l'herméneutique, et on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Rousseau de critiquer l'immutabilité universelle, il est alors évident qu'il envisage la conception universelle de l'herméneutique. Il convient de souligner qu'il en particularise l'aspect rationnel dans une perspective bergsonienne contrastée.
On ne peut considérer qu'il caractérise le créationisme existentiel par son esthétique déductive si l'on n'admet pas qu'il en spécifie l'analyse transcendentale comme objet moral de la connaissance.
Par le même raisonnement, on ne peut que s'étonner de voir Kierkegaard critiquer l'esthétique minimaliste pour l'opposer à son cadre politique et intellectuel l'esthétique.
Finalement, l'herméneutique permet de s'interroger sur un minimalisme minimaliste de la pensée sociale.



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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyDim 10 Avr - 20:48

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Oliviermtd

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MessageSujet: Re: Capitaliste or not   Capitaliste or not EmptyLun 11 Avr - 6:13

Je suis d'accord ave Feuh !
J'ai tout lu et tout compris!
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